POESIE ALBANAISE
TAFIL DURAKU
A M O U R D’ É T É
La brise a cessé de caresser la mer
tes yeux sont en arrêt sur un objet
et se ferment doucement
avant de lui donner un nom.
Sur ta silhouette aujourd’hui se couchent les regards
Douceur du jour qui vient
tes cheveux sous l’ombre la garde
ton adulation je la tiens dans mes mains
cherche ton secret
et marche pleine d’amour
mûe par l’amour d’été
Autrefois
tu sortais te promenner au bord de la mer
seule
rapelle toi du passé de l’Adriatique
et conte le moi
Split, mars 1979
(Traduir pa l’auteur et édité par Mr. Gilbert des LYONS,
Directeur D’INSTITUT FRANÇAIS à Split)